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vendredi 17 juin 2016

L'ULTIME VERITE SUR LE PÎLLAGE DE LA TERRE

Patrick GENSAU


Tous Droits Réservés © ®


Le "COMPTE A REBOURS EST EN MARCHE" sur un " PILLAGE SAVAMMENT ORCHESTRÉ DES RESSOURCES NATURELLES DE NOTRE PLANETE TERRE....


Combien de temps nous reste il pour que les " ENERGIES FOSSILES NON RENOUVELABLES SOIENT DÉFINITIVEMENT EPUISEES ?


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"  LE PETROLE " = " LE SANG DE LA TERRE !


"  LE GAZ NATUREL"= " LE SOUFFLE  DE LA TERRE !


" LE CHARBON" = LES RESERVES DIGESTIVES DE LA TERRE !


" LA GEOTHERMIE " " LA CHALEUR DOUCE A LA SURFACE PROVENANT DES

ENTRAILLES DE LA TERRE !

" LES METAUX PRECIEUX" = L'OR = LES DIAMENTS= Et autres Pierres Précieuses=


L 'EQUILIBRE MAGNETIQUE DE LA TERRE ..."


" LES ANIMAUX ET LA FAUNE SAUVAGE " =  LE CYCLE DES PREDATEURS NATURELS

PERTURBÉS "

DESTRUCTION DE LA FLORE SOUS MARINE = EXTINCTION DES MAMMIFERES...

ET AUTRES POISSONS...

" PESTICIDES , FONGICIDES, HERBICIDES " , = " EMPOISONNEMENT LENT DE LA TERRE !


" LA LISTE EST TRES LONGUE " SANS PARLER DE LA POLLUTION , DES RADIATIONS

ELECTROMAGNETIQUES ET DES PERTURBATEURS ENDOCRINIENS !

Mais, le Pire de Tous est la " Pollution Mentale" ....



Tout cela est très triste !  Une destin  tragique vers une fin inéluctable !


Mais , comment faire ?













































































Le stock des combustibles fossiles s’épuise


Les sources d’énergie actuelles proviennent de stocks qui ne se renouvellent pas.
Poster 3

gars On brûle 13 milliards de litres de pétrole chaque jour dans le monde.

Soit  4 milliards de tonnes par an. En additionnant le gaz et le charbon, ce sont environ 12,7 milliard de « tonnes équivalent pétrole »  qui ont été consommés en 20101. C’est le double de la consommation de 1976.

CO2 et on rejette 1 000 tonnes de CO2 par seconde  !

Tous les combustibles fossiles ajoutent du CO2 à l’atmosphère 2
L’air contient du CO2 de façon naturelle, et il joue un rôle positif. Mais depuis le début de l’ère industrielle,  il y a environ deux siècles, on utilise une grande quantité de combustibles fossiles.
Quand on les fait brûler, ces combustibles rejettent l’énergie et  le carbone qu’ils avaient stockés. Leur carbone se combine à l’oxygène de l’air et forme du dioxyde de carbone (CO2), qui  est ajouté à l’atmosphère. A cause de la combustion du charbon, du gaz et du pétrole, le CO2 présent dans l’atmosphère a augmenté de 40%, et il commence à modifier le climat
Au niveau mondial, 30 milliards de tonnes de CO2sont rejetées chaque année dans l’air. En France,  ce rejet est de 6 tonnes par habitant et par an. Comme la Terre 3 ne peut en absorber  que 1,5 tonne, l’objectif, en France,  est de diviser par 4 nos émissions de gaz à effet de serre pour freiner le changement climatique.

origines L’origine lointaine des combustibles fossiles

Les combustibles fossiles ont été formés il y a des dizaines ou des centaines de millions d’années
Il y a très longtemps, alors que les hommes n’existaient pas encore, alors que les dinosaures n’existaient pas encore, il y a des centaines de millions d’années, une importante quantité de biomasse terrestre  (végétaux)  et marine (algues, le plancton marin, les petits animaux) a vu le jour.
Ces organismes ont besoin pour se développer,  de sels minéraux (les plantes les trouvent dans la terre), de l’air  (c’est là que se trouve le carbone sous forme de CO2) et de la lumière qui apporte de l’énergie 4. Une partie du carbone présent dans l’air s’est donc trouvé piégé dans la biomasse.
Ensuite, par endroit, une partie de la  biomasse morte a pu être recouverte, d’eau  ou de terre,  et  s’enfoncer progressivement dans le sol, à l’abri de l’air. Elle a été transformée sous l’effet de la température et la pression plus élevées sous Terre. Cela a pris des millions d’années (cliquer ici pour plus d’informations sur ces processus)
Selon la profondeur où elle est descendue, elle se trouve aujourd’hui sous  forme liquide, gazeuse,  ou solide :  pétrole, gaz naturel, charbon, ou autres produits moins purs si elle n’a pas été assez chauffée (cliquer ici pour plus d’informations sur les combustibles fossiles non conventionnels).  S’il se forme encore du charbon, du gaz ou du pétrole aujourd’hui, c’est à un rythme beaucoup trop lent pour remplacer ce que l’on utilise.

derrick Les stocks s’épuisent

Les sources d’énergies fossiles constituent donc des stocks  dans lesquels on puise pour assurer nos activités.  Comme ils ne se renouvellent pas, ils s’épuisent progressivement.  Les stocks de pétrole sont les premiers à s’épuiser.
Jusqu’au début des années 80, la quantité de pétrole découverte chaque année était supérieure à la consommation annuelle de pétrole.
Depuis les années 80, on n’a découvert que 3 champs de pétrole contenant plus d’un milliard de barils5 mais aucun d’entre eux n’est capable de produire plus de 200 000 barils/jour. Entre 1990 et 2000 les découvertes correspondaient à des réserves de 42 milliards de barils alors que la consommation durant la même période a été de 250 milliards de barils. Depuis cette période, excepté pour 2 années, la consommation mondiale a été tous les ans, supérieure aux quantités découvertes. On épuise donc lentement mais sûrement les réserves de pétrole conventionnel. On est dans la situation où les réserves connues de pétrole et de gaz  sont  comme une baignoire dans laquelle on puise sans arrêt. Mais le débit du robinet qui la remplit (ce que l’on découvre) est inférieur ce que l’on consomme.
Les gisements de pétrole et gaz conventionnels, extraits du sol de façon traditionnelle, commencent à s’épuiser.  D’autres ressources prennent le relais : pétrole et gaz non conventionnels (gaz de schistes aux USA notamment) qui demandent de nouvelles méthodes d’extraction, et les pétroles profondément enfouis sous les mers. Ils coûtent plus cher, sont plus risqués, et auront aussi une fin.

camenbert La domination des combustibles fossiles dans le monde

Plus de 80 % de l’énergie utilisée dans le monde provient  de ressources fossiles : le pétrole, le charbon et le gaz.





















"LA CAUSE REELLE ET AUTHENTIQUE DES
IRREGULARITES CLIMATIQUES ET DES
CATASTROPHES NATURELLES "


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Perturbateurs endocriniens : tollé contre Bruxelles


LE MONDE | 16.06.2016 à 14h34 • Mis à jour le 16.06.2016 à 17h52


Par Stéphane Horel


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 | Aurel pour "Le Monde"


Personne, il y a encore un mois, n’aurait imaginé que la Commission européenne choisirait pareille option. L’annonce, mercredi 15 juin, de sa proposition finale de réglementation des perturbateurs endocriniens a surpris tout le monde. Mais elle a surtout laissé abasourdis la plupart des acteurs impliqués dans cette saga politico-technique. Abasourdis voire accablés. Car en offrant un traitement d’exception à cette famille de polluants chimiques, la Commission exige un niveau de preuves d’effets nocifs très difficile à atteindre. Impossible, estiment même certains. Les promesses de restrictions et d’interdictions, prévues dans le règlement régissant la mise sur le marché des pesticides en Europe, ne seront peut-être tenues qu’au compte-gouttes.


Depuis plus de vingt-cinq ans, les éléments s’accumulent sur ces produits chimiques capables d’interférer avec le système hormonal (endocrinien) des êtres vivants, suscitant une sourde inquiétude dans la communauté scientifique. Constituants d’une multitude d’objets de consommation – plastiques, cosmétiques, peintures, etc. – et contaminant l’environnement, ils sont soupçonnés de contribuer à l’augmentation de nombreuses maladies : infertilité, certains cancers, développement du cerveau, etc. Tandis que l’on détecte 43 produits chimiques en moyenne dans le corps d’une femme enceinte, plusieurs études ont tenté de chiffrer le coût, pour la société, des maladies liées à une exposition aux perturbateurs endocriniens. Les estimations oscillent entre 157 et 288 milliards d’euros par an en Europe.


Lire aussi :   Les agriculteurs vont-ils pouvoir se passer du glyphosate, le « désherbant total » ?


Ces données n’ont, semble-t-il, pas pesé assez lourd dans l’étude d’impact « socio-économique » que la Commission a menée pendant plus d’un an pour appuyer sa décision. Pour que les perturbateurs endocriniens soient réglementés, elle propose en effet de leur appliquer une sorte d’adaptation de la définition énoncée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) en 2002. Ce choix implique non seulement que les effets nocifs d’une substance soient démontrés et qu’ils soient causés par une action à travers le système hormonal, mais aussi qu’ils soient« pertinents » en termes de santé humaine. Or certains signaux d’alerte proviennent du monde animal, et tous ne sont pas forcément « pertinents » dans le sens où l’entend la Commission. L’imposex, par exemple, est un trouble qui procure des pénis aux femelles bulots. Et si aucune affection équivalente n’a, à ce jour, été constatée chez les humaines, l’alerte n’en a pas moins été lancée sur les perturbateurs endocriniens de la branche des organoétains qui se sont ensuite avérés en être la cause.


« La Commission européenne a placé la barre si haut qu’il sera ardu de l’atteindre, quand bien même il existe les preuves scientifiques de dommages », a estimé dans un communiqué l’Endocrine Society. Très active sur le dossier, la société savante des endocrinologues, qui compte 18 000 membres dans 120 pays, parle d’un« échec pour la santé publique ». Suivant le raisonnement de la Commission, il faudrait en fait attendre la certitude et observer les preuves des effets sur l’homme ou l’environnement. A titre de comparaison, à peine plus d’une centaine de substances atteignent le « statut » de cancérogène certain pour l’homme selon la classification de l’OMS, parmi lesquelles l’amiante, le tabac ou l’arsenic.


UNE POCHETTE DE MAUVAISES SURPRISES


Pour les ONG aussi, cette annonce ressemble à une pochette de mauvaises surprises. « Le niveau de preuve est si élevé qu’il nous faudra attendre des années de dégâts sur la santé avant de pouvoir retirer du marché » un perturbateur endocrinien, analyse Lisette van Vliet, de l’association HEAL, qui représente plus de 70 ONG santé-environnement en Europe. « La présentation des critères réalisée aujourd’hui s’éloigne de manière honteuse des connaissances scientifiques actuelles », renchérit Michèle Rivasi. La députée européenne du groupe des Verts/Alliance a également critiqué une disposition qui élargit le champ des dérogations aux interdictions éventuelles. Ces exceptions vont « totalement à l’encontre de la législation européenne qui défend l’idée de l’évaluation des substances selon le danger intrinsèque qu’elles représentent et non pas le risque supposé qu’elles pourraient causer ».


C’est précisément sur ce point que tique Andreas Kortenkamp, professeur de toxicologie à l’université de Brunel, à Londres (Royaume-Uni). Spécialiste mondialement reconnu du sujet, il estime que la Commission a tricoté dans les détails techniques de sa proposition un véritable retour vers ce que l’on appelle l’« évaluation des risques ». Derrière ce jargon réglementaire se cache le principal enjeu du choix de la Commission. « L’évaluation des risques » permet de mesurer la nocivité des substances alors qu’elles sont déjà sur le marché, en fonction de calculs prenant en compte l’exposition. Or le règlement Pesticide, adopté en 2009,exige une tout autre approche, en amont, dite « fondée sur le danger ». D’après le chercheur, la Commission tournerait le dos à cette obligation de précaution pourtant inscrite dans la loi.


Le texte de loi Pesticide avait été le point de départ du processus réglementaire de définition des perturbateurs endocriniens. La Commission devait d’abord élaborerdes critères scientifiques pour les identifier. Selon le texte, aucun pesticide identifié comme tel au filtre de cette définition ne pourrait rester sur le marché européen ou y accéder. Au grand mécontentement des industriels de la filière, mais aussi d’autres secteurs. Dans un souci de cohérence, ces critères s’appliqueront à l’ensemble de la réglementation européenne. Cosmétiques, médicaments, plastiques… des pans entiers de l’industrie devront tôt ou tard s’y conformer.


L’INDUSTRIE SE DIT « DÉÇUE »


L’industrie se dit, elle, « déçue ». Mais avec une lecture radicalement opposée. Pour Jean-Charles Bocquet, directeur général de l’ECPA, l’organisation européenne de lobbying de l’industrie des pesticides, la proposition de la Commission « pourraitdéboucher sur l’interdiction de produits de protection des plantes qui possèdent les mêmes propriétés de perturbation endocrinienne que des produits quotidiens comme le café ».


Si elle n’a pas choisi l’option souhaitée par l’industrie (qui imposait une notion arbitraire de puissance des effets des perturbateurs endocriniens), la Commission n’a pas non plus opté pour celle qui avait la faveur de la communauté scientifique, de plusieurs Etats membres dont la France et des ONG. Elaborée par la direction générale de l’environnement de la Commission, cette option prévoyait de classerles perturbateurs endocriniens dans un système de catégories calqué sur celui des cancérogènes. Elle avait été soudainement remisée après que l’industrie, à l’issue d’une offensive de lobbying, avait obtenu, en juillet 2013, le report de la décision.


C’est dans un contexte politique très tendu avec le Parlement et avec deux ans et demi de retard, pile, que tombe cette annonce initialement prévue en 2013. En décembre 2015, la Cour de justice de l’Union européenne avait condamné la Commission pour avoir « violé le droit l’Union » en ne respectant pas la date limite fixée par la loi. Le 8 juin, les députés européens adoptaient à une très large majorité une résolution la condamnant aussi pour son inaction. Il y a fort à parier qu’ils devraient accueillir froidement sa proposition quand elle reviendra devant eux, après approbation des Etats membres, d’ici quelques mois.


Par Stéphane Horel


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Vos réactions (1)




MeiB


Cela n'est plus possible. J'espère que les décodeurs nous donnerons les noms de tous les représentants politiques Français qui ont voté cette réglementation, cela n'a qu'un nom: CORRUPTION. Ces gens doivent payer le prix politique de leurs actions.




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